jeudi, 14 juin 2012

Mini-enquête

Nous souhaitons nous équiper d'un ordinateur adapté. Pour cela, nous avons besoin de connaître votre expérience et de savoir ce dont vous avez besoin.

Avez-vous un ordinateur adapté? Si oui, pouvez-vous nous décrire les adaptations qui vous semblent les plus utiles?

Vous pouvez répondre en commentant cette note, ou par mail: dd.08@apf.asso.fr

vendredi, 08 juin 2012

Projection à la médiathèque

Samedi 9 juin à 17h, la médiathèque Voyelles, en partenariat avec l'association Valentin Haüy, propose une projection du film Un long dimanche de fiançailles de Jean-Pierre Jeunet.

mercredi, 06 juin 2012

Do you speak english?

Nous relançons le projet d'un cours d'anglais à la délégation. Et pour cela, nous avons besoin... d'un professeur!

Cette initiative ne date pas d'hier. Le projet est né en février 2011, et malgré beaucoup d'enthousiasme venant des participants, il n'avait pas pu aboutir. Mais nous sommes tenaces (et les participants aussi). Nous souhaiterions donc voir renaître ce projet.

Il s'agirait de mettre en place un atelier de deux heures par semaine, animé par un professeur d'anglais pédagogue et motivé ayant envie d'apprendre aux adhérents en s'amusant et d'encourager les langues timides à se dénouer!

Idéalement, nous aimerions que cet atelier débouche sur un voyage/échange linguistique permettant aux participants de s'immerger dans la langue et la culture. Ce ne sera pas facile à mettre en place, mais qui ne tente rien, n'a rien!


PS.: Nous sommes toujours à la recherche d'ordinateurs qui seraient utilisés durant nos ateliers pour diverses tâches (création de diaporamas pour les sensibilisations, traitement de texte, recherches d'activités par une commission loisirs, etc...). Si vous connaissez dans votre entourage une personne ou une entreprise qui se débarasse d'un ou plusieurs ordinateurs, n'hésitez pas à nous le faire savoir.

Et si vous connaissez un professeur d'anglais désireux de partager sa passion et en plus de se débarasser de son ancien ordinateur... C'est encore mieux!

mardi, 05 juin 2012

URGENT! APF Evasion recherche toujours des bénévoles

A 10 jours des premiers départs des séjours APF Evasion, il manque encore plus de 800 accompagnateurs bénévoles (500 hommes et 300 femmes) ! Sans bénévole, les vacanciers en situation de handicap ne pourront pas partir en vacances!

Pour devenir accompagnateur bénévole, rien de plus simple ! L’inscription peut être réalisée :
→ en ligne : www.apf-evasion.org
→ par téléphone : 01 40 78 00 00
→ par courriel : evasion.accompagnateurs@apf.asso.fr
→ en demandant un exemplaire papier du dossier d’inscription à APF Evasion 17, bd Auguste
Blanqui 75013 Paris

APF Evasion prend en charge les frais de transport, de nourriture, d’assurances et d’hébergement des accompagnateurs, et dispense une formation d’un à deux jours sur site, avant l’arrivée des vacanciers.

Encore du sport...

Aux Jeux Paralympiques de Londres cet été, les athlètes espèrent des médailles mais comptent aussi sur la médiatisation de la compétition pour donner de l'espoir aux personnes handicapées et contribuer à donner du handicap une image positive.

Logo

 On m'avait dit "Tu ne feras jamais de sport", se souvient l'escrimeur Romain Noble, champion d'Europe en 2011 malgré une maladie congénitale qui lui rend la marche difficile. A 31 ans, il devrait défendre les couleurs de la France aux Jeux Paralympiques, organisés à partir du 29 août, une quinzaine de jours après la fin des jeux Olympiques (27 juillet-12 août) et leur couverture médiatique gigantesque.

Il a découvert l'escrime vers 14 ans. Il l'a d'abord pratiquée debout, avec les valides, avant de se lancer dix ans plus tard dans le "handisport", en fauteuil roulant, ce qui lui permet de se frotter désormais au plus haut niveau. "J'ai toujours été un compétiteur; préparer les Jeux, c'est ce que j'ai toujours voulu faire", poursuit le jeune homme, modeste malgré son palmarès.

Il pourra compter sur le soutien enthousiaste de la multi-médaillée Laura Flessel-Colovic, qui a découvert le handisport il y a une quinzaine d'années. "Dans mon club, les entraînements étaient communs, valides et handisport. La seule différence, c'est qu'ils sont en fauteuil", témoigne l'épéiste. Double championne olympique (en individuel et par équipes en 1996), récemment désignée porte-drapeau de la délégation française aux JO, Laura Flessel est marraine du Club des supporters Handisport et compte bien mettre sa notoriété au service des athlètes handicapés. La championne s'est d'ailleurs déjà entraînée en fauteuil "pour gagner en maîtrise du corps et en puissance au niveau du bras". Avec eux, elle a découvert "des passionnés qui avaient des rêves olympiques comme nous".

Aller aux Jeux, c'est un défi sportif avant tout, explique Romain Noble, qui espère "la plus belle des médailles". La France souhaiterait intégrer le top 10 des nations, après avoir fini douzième à Pékin en 2008. Mais pas seulement. C'est aussi "une revanche sur la vie" qui donne de l'espoir aux personnes handicapées, explique l'athlète. Cela les aide à "croire en de nouveaux rêves", abonde Laura Flessel et peut aider le grand public à oublier certains "préjugés" sur le handicap.

Mais, comme le dit Gérard Masson, président de la Fédération française handisport, "pour que le gosse au fin fond du Gers se dise que c'est possible+", il faut des images à la télévision. Après avoir tapé du poing sur la table après les Jeux de Pékin, qu'elle estimait insuffisamment couverts, la Fédération compte sur un regain d'intérêt cette année.

La présence d'une "star" comme le coureur de 400m sud-africain Oscar Pistorius, auteur de performances remarquables malgré ses prothèses de jambes, et qui espère devenir le premier athlète handicapé à se qualifier pour les JO avec les valides, pourrait donner un coup de projecteur sur le handisport.

France Télévisions promet "un magazine de 52 minutes pour tous les grands moments de la journée" et "l'image du jour" à 20H30, tandis que son site internet retransmettra toutes les compétitions en direct. "On a besoin d'images", insiste Laura Flessel. "On a besoin de reconnaissance pour aller démarcher (des sponsors), pour faciliter l'intégration des sportifs de haut niveau dans les entreprises".

Elle plaide d'ailleurs pour que les Paralympiques soient organisés moins longtemps après les JO. Il faudrait aussi ne pas éteindre la flamme olympique entre les deux compétitions, ou bien qu'on "mêle les deux flammes", celle des JO et celle des Paralympiques, plaide encore la championne. (Source: La Voix du Nord)