vendredi, 29 novembre 2013

Fermeture de la délégation

Bonjour,

La délégation APF des Ardennes sera fermée le Mardi 3 Décembre 2013.

Les adhérents, bénévoles et salariées participent à une journée de sensibilisation, toute la journée,  qui se déroulera au collège Les Aurains, à Fumay.

Alors à Mercredi ...

mercredi, 27 novembre 2013

Repas du Nouvel An de la Délégation APF des Ardennes le samedi 4 Janvier 2014

images.jpgLa Délégation APF des Ardennes organise un repas le samedi 4 Janvier 2014 à la Salle Guy Canon à Warq.


Nous invitons toutes les personnes adhérentes ou non adhérentes de l'APF, adhérents de différentes associations partenaires de l'association pour un moment convivial à partir de 12 heures.


Vous retrouverez ci dessous les menus proposés pour ce repas ainsi que le coupon réponse à nous renvoyer avec le règlement au plus tard pour le mercredi 18 décembre 2013:

Menu du Nouvel An

Coupon réponse

 

Pour plus de renseignements n'hésitez pas à nous contacter au 03.24.33.00.41 ou par mail à dd.08@apf.asso.fr

 

lundi, 25 novembre 2013

Le handicap, toujours victime de l’ignorance ordinaire

1883754463_B971450316Z.1_20131121102838_000_GT31HQ8R9.1-0.jpgConfrontée à son voisinage, une famille de Charleville-Mézières lance un appel à plus de compréhension, le grand public ne réalisant pas toujours ce qu’implique un handicap.

DANS notre édition du 2 novembre dernier, nous relations l’histoire d’une famille excédée par le bruit provenant de l’appartement de ses voisins où vivent une personne âgée et son fils handicapé. Un conflit de voisinage comme on en trouve beaucoup, cette histoire aurait pu s’arrêter là… Mais depuis, la dame en question, victime d’une grave chute, a dû être hospitalisée, tandis que son fils, Didier, était placé en urgence dans une structure d’accueil spécialisée.

Cet épisode met en perspective l’histoire d’une famille qui compte en son sein une personne handicapée. C’est en 2007 que Didier (45 ans) apprend qu’il est atteint de la maladie de Huntington (voir par ailleurs), affection rare et incurable attaquant progressivement les capacités motrices et cognitives. Très vite, sa mère décide de s’occuper de lui, faute de place dans une structure adaptée ou par la volonté de Didier de ne pas prolonger l’expérience dans certains cas. De cette épreuve naît un lien particulier. « Didier ne voulait pas être séparé de la grand-mère, raconte Sarah Jauniaux, sa nièce. Un peu comme « s’ils se maintenaient en vie tous les deux ».

Cependant le 18 novembre 2012, tout bascule, la grand-mère est victime d’un accident vasculaire cérébral. La question du placement définitif se pose alors de plus en plus. Mais dans ce genre de situation, « il faut prendre en compte l’avis, le non de la personne handicapée qui ne veut pas forcément rejoindre une structure  », note Sarah. Une attente qui, si elle peut sembler naturelle, n’est pas toujours comprise de l’extérieur.

Finalement, la grand-mère reviendra vivre à l’appartement. « Après son retour d’AVC, on avait une personne une heure par jour. Ce qui est un peu léger… Il a fallu prendre sur notre temps et sur notre vie personnelle », témoigne Sarah. Et faire face à l’adversité. Aux demandes légitimes des uns et des autres par rapport aux nuisances causées. « Le plus dur, c’est de prendre en compte les attentes de tout le monde, de faire face à la méconnaissance des gens », parfois même parmi ses proches. Heureusement, Sarah se sait soutenue. La Maison départementale des personnes handicapées a ainsi accompagné la famille de Didier tout au long de ses démarches. Un travail que la jeune femme salue.

Et de conclure à l’attention de la voisine incommodée : « Je voudrais que tout ceci soit un appel à la compréhension. On veut dire à cette dame qu’on ne lui en veut pas. On a toujours pris en compte ses revendications et on met tout en œuvre pour trouver une solution. » Et de l’inviter à venir échanger car « voir la réalité en face, ça permet d’accepter les choses ».L’appel est lancé.

(Source : L'Ardennais)

vendredi, 22 novembre 2013

Emploi des personnes handicapées : Ce que dit la loi...

Semaine emploi personnes handicapees_1200.jpgLa nature des handicaps de la population active. La population des handicapés est constituée pour 48% de déficients moteurs, 13% de déficients sensoriels, 7% de déficients intellectuels, 14% de déficients psychiques, et 18% de handicap d'autres nature, indique l'enquête Handicap-Santé 2008.


Qu'est-ce que le 6 % réglementaire ? Depuis la loi du 11 février 2005, tout établissement qui emploie 20 salariés ou plus est tenu de porter à 6 % (arrondi à l'unité inférieure) de son effectif la part des travailleurs handicapés. Faute de quoi, il est redevable d'une contribution financière à l'Agefiph (Association de gestion du fonds pour l'insertion professionnelle des personnes handicapées) ou à la FIPHFP (équivalent pour la fonction publique), dont le montant est fonction des actions menées ou pas.


Les sanctions. Si ce seuil de 6% n'est pas atteint, l'entreprise est redevable d'une contribution financière à l'Association de gestion du fonds pour l'insertion professionnelle (Agefiph) ou au Fonds pour l'insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (Fiphfp), dont le montant est fonction des actions menées ou pas.

Par ailleurs, depuis le 1er janvier 2010, si une entreprise n'a engagé aucune action en faveur de l'emploi des travailleurs handicapés pendant une période supérieure à trois ans, le montant de la contribution par bénéficiaire manquant est porté à 1500 fois le Smic horaire.


L'emploi indirect dans le secteur protégé. Pour 50 % du quota, l'emploi des personnes handicapées peut être indirect et se faire par l'intermédiaire d'entreprises agréées du secteur protégé, avec des entreprises adaptées (EA), des centres de distribution de travail à domicile (CDTD) et des établissements ou services d'aide par le travail (ESAT).

Les ESAT sont des établissements médico-sociaux accessibles aux personnes handicapées qui ne présentent pas une autonomie suffisante pour travailler en milieu ordinaire.

Les EA sont des entreprises ordinaires qui offrent des conditions de travail et de management adaptées et servent de tremplins vers les entreprises classiques. En France, il existe plus de 2 000 structures (1 450 ESAT et 637 EA), qui regroupent plus de 135 000 salariés, pour un chiffre d'affaires annuel de près de 2 milliards d'euros.

(Source: Lemonde.fr)

jeudi, 21 novembre 2013

Atelier Cuisine - Tatin aux poires épicées

Tatin aux poires épicées

P1010123.JPG


Pour 10 personnes
Préparation : 15 min
Cuisson : 1h05

Ingrédients :

- 4 poires
- 1 orange non traitée
- 3 œufs
- 70 gr de beurre
- 12,5 cl de lait
- 550 gr de sucre de canne
- 375 gr de farine tamisée
- 25 cl d'huile de tournesol
- 2,5 cuillère à café de levure chimique
- 2 cuillère à café de gingembre en poudre
- 1/2 cuillère à café de cannelle en poudre



  • P1010128.JPGPréchauffez le four à 220°C (th. 7/8).
  • Chemisez un moule à gâteau rond avec 10 gr de beurre.
  • Rincez l'orange, râpez-en le zeste et réservez le. Pressez la chair en jus.
  • Dans une casserole, portez à ébullition avec 220 gr de sucre, la cannelle et le reste de beurre.
    Laissez mijoter 3 minutes, pour que le sirop épaississe.
  • Pelez les poires et, après en avoir ôté cœurs et pépins, coupez-les en huit.
    Répartissez les morceaux dans le moule et nappez du sirop.
  • Mixez ensemble le sucre restant, l'huile, le zeste râpé, le gingembre et les œufs.
    Incorporez peu à peu la farine, la levure, puis le lait.
    Versez cette pâte sur les poires et le sirop, et enfournez pour 10 minutes.
  • Ramenez alors la température du four à 180°C (th. 6) et poursuivez la cuisson 50 minutes.

 

La semaine prochaine, ce sera un gâteau à l'orange.

Vous pouvez si vous le souhaitez, venir déguster le gâteau à l'atelier cuisine le jeudi après-midi vers 16h (réservation à l'avance, et participation financière de 0,50€ la part).