mardi, 10 avril 2012

A consulter au plus vite: Le Zoom avril-juin 2012!

Au sommaire, les élections du Comité Départemental, le Pacte APF 2012 et la Fête du Sourire.

Vous découvrirez aussi les sorties et loisirs pour les mois à venir, ainsi que l'actualité de la délégation.

N'hésitez pas à nous contacter pour en savoir davantage sur nos ateliers, et n'oubliez pas de réservez vos places pour les sorties!

Pour consulter le Zoom avril-juin 2012, cliquez ici.

Jeu Handifast

Le jeu Handifast permet d’incarner une personne en situation de handicap dans 3 contextes différents: se rendre à un entretien d’embauche, aller au cinéma et aller voter.

Le parcours, ponctué d’obstacles, est chronométré. Des gadgets peuvent être ajoutés au fauteuil roulant du personnage pour améliorer ses capacités. A la fin de chacune des trois situations, les internautes sont interpellés sur les préoccupations quotidiennes des personnes en situation de handicap et peuvent se rendre sur le site de la Fête du Sourire afin de découvrir les animations prévues en région ou de faire un don en ligne afin de financer les actions de proximité des délégations départementales de l’APF.

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jeudi, 05 avril 2012

Plus que 1000 jours pour une société accessible!

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A partir de demain, le décompte des jours restant avant le premier janvier 2015 passera de 4 à 3 chiffres!

Les jeunes & le handicap

A l’automne 2011, le site www.filsantejeunes.com, financé par l’Inpes (Institut national de prévention et d’éducation pour la santé) et la DGCS (Direction générale de la cohésion sociale), lançait une grande enquête sur le handicap auprès des jeunes.

L’objectif était de mieux connaître leurs idées et opinions sur le sujet mais aussi sur ce que peuvent vivre aujourd’hui dans notre société les personnes porteuses de handicap. Les résultats viennent d’être publiés. Tout d’abord, 70 % des jeunes interrogés estiment qu’un handicap qui ne se voit pas peut être aussi "handicapant" qu’un handicap qui se voit. Les résultats de l’enquête montrent également que la plupart d’entre eux estiment que les personnes handicapées rencontrent des difficultés plus importantes que les autres dans leur vie de tous les jours. Ils sont aussi 30 % à penser qu’elles peuvent subir des discriminations à cause de leur apparence. De plus, pour près de la moitié des jeunes, le handicap ne constitue pas un obstacle à une histoire d'amour mais une partie d’entre eux hésite et pense que cela dépend quand même de la nature du handicap.

Ensuite, cette enquête permet de mettre en lumière le fait que face à une personne handicapée, les jeunes se sentent à l’aise. Seulement trois répondants sur dix avouent qu'ils sont gênés quand ils voient une personne handicapée. La majorité dit plutôt ressentir des émotions positives (sympathie, envie d'aider…). Bien plus, les adolescents pensent que le fait de fréquenter une personne handicapée apporte à la fois une meilleure compréhension du handicap et un autre regard sur la vie. Nombreux sont également ceux qui souhaiteraient devenir ami avec un camarade de classe handicapé. Comme le concluent les auteurs de l’enquête : « Il n’y a qu'à espérer que ces résultats reflètent la réalité telle que vous la vivez au collège, au lycée et ailleurs ! »

L’ensemble des résultats est disponible sur "Ton regard sur le handicap". (Source:Estelle Nouel - Faire Face)

mercredi, 04 avril 2012

L'aluminium empoisonne

A 42 ans, Catherine Demarez est atteinte de myofasciite à macrophages. Une maladie rare liée aux adjuvants aluminiques des vaccins. Elle tire la sonnette d'alarme.

A 42 ans, cette maman de deux enfants, employée à l'Adapah, vient de découvrir qu'elle est atteinte d'une maladie rare, la myofasciite à macrophages, déclenchées à cause de l'aluminium contenu dans les vaccins. Pendant des années, alors qu'elle pensait agir pour sa santé et celle d'autrui en se vaccinant, Catherine Demarez se faisait en fait injecter la dose du poison qui aujourd'hui lui pourrit la vie et pourrait bien l'empêcher à terme de travailler. "L'adjuvant aluminique provoque un effet inflammatoire. Il met le feu aux poudres", explique la présidente de l'association d'entraide aux malades de la myofasciite à macrophages (E3M basée à Niort), Sophie Chevry, 42 ans, elle-même diagnostiquée en 2002.

Douleurs persistantes, épuisement, problèmes neurocognitif... Les symptomes ressemblent au premier abord à ceux de la fibromyalgie, maladie dont Catherine Demarez se croyait atteinte depuis des années... à tort. Une confusion entretenue par la méconnaissance des médecins face à cette nouvelle pathologie qui plus est invisible. IRM et prises de sang ne révèlent aucune anomalie. Seule une biopsie du deltoïde (l'endroit où sont pratiqués généralement les vaccins) peut révéler l'affection.

Une démarche qu'à entreprise Catherine Demarez avec l'accord de son médecin. Et le verdict est finalement tombé: elle est la première Ardennaise à être diagnostiquée. Aujourd'hui Catherine Demarez tire la sonnette d'alarme: "Peut-être d'autres personnes comme moi ont-elles été mal diagnostiquées."

Certes connaître le problème suffisamment tôt ne permet pas d'en guérir mais cela permet au moins d'espérer stabiliser la maladie en limitant au maximum l'apport d'aluminium. Ce qui n'est pas si facile car l'aluminium est présent au quotidien: déodorant, produits cosmétiques, écran total, alimentation...

Et elle tremble aussi pour ses enfants, notamment pour Johanna encore scolarisée et pour qui la vaccination devrait être obligatoire d'ici peu. Car si la maladie est encore méconnue, de fortes suspicions pèsent sur son caractère génétique. Ainsi cette maman explique: "J'attend pour ma fille qu'il y ait des vaccins sans aluminium". Une des demandes répétées de l'association: "Nous ne sommes pas contre la vaccination. Nous voulons vacciner en toute sécurité", précise Sophie Chevry. Mais le sujet reste tabou. Selon Catherine Demarez, "on va vers un scandale sanitaire".