jeudi, 17 janvier 2013

Fermeture du point rencontre de la Sève et le Rameau Bénévoles, usagers et associations chez le préfet

2013011750f779b486166-0-715140.jpgLundi soir, une délégation d'une quinzaine de personnes, a rencontré le préfet afin de trouver une solution pour le point rencontre carolo de la Sève et le Rameau qui fermera définitivement à la mi-février.
 

Emmenés par Boris Ravignon et la conseillère municipale Françoise Hannotin, les bénévoles et usagers ont pu expliquer leur situation et dire leur volonté de voir un nouveau point rencontre se créer.
 

Le préfet pour sa part a donné plusieurs pistes de réflexion notamment la création d'emplois en contrat d'avenir qui permettrait de pérenniser le lieu au moins pour 3 ans et il s'est engagé à contacter les bailleurs sociaux…


D'autres associations étaient présentes : les paralysés de France (APF), les sclérosés en plaques (Afsep), Tralalère (les parents des enfants handicapés) ou encore celle du Noël des plus démunis.
Objectif : dire leur solidarité et leur inquiétude car les questions des usagers concernant les financements et les statuts de l'association restent sans réponse. « Cela jette le discrédit sur les autres associations » estime Daniel Schmitt, président du Noël des plus démunis.


 « Il y a un manque de transparence » explique la conseillère municipale Françoise Hannotin avant de rappeler que la ville verse 9 500 euros de subvention à l'association siégeant à Reims.
Si le président de l'association François Leboeuf n'avait pas été convié à cette réunion, la délégation a convenu toutefois qu'il fallait que la direction soit « remise dans la boucle » afin que les choses puissent avancer. « Il y a des choses à régler avant », a expliqué le préfet « je peux être très pragmatique à partir du moment où le problème de fond est réglé ».


 (N.DIOT pour l'Ardennais)

mercredi, 16 janvier 2013

Audition des jeunes: bruit extrême, une bombe à retardement!

interieur-oreille-pre0301vention-05.gifUn risque de handicap auditif majeur pour les plus jeunes ? C'est ce qu'il faut apparemment craindre avec la consommation effrénée de musique amplifiée. Le bon vieux walkman d'antan semblait déjà mettre à mal nos délicates « écoutilles » mais le tsunami de sollicitations sonores et de bombes technologiques pour écouter nos tubes en boucle ne fait qu'accentuer cette course aux décibels. Cinéma, autoradio, MP3, casques de PC, Smartphones à oreillettes, batterie, guitare... Evidemment sans protection auditive !

Ca passe ou ça casse !

Ce qui peut dorénavant inquiéter, plus que jamais, c'est que certains addictes ne peuvent plus s'en passer, avec des durées d'écoute impressionnante et des volumes sonores non maîtrisés. Les chiffres révélés par l'enquête Réunica-Ipsos- JNA 2012 « Le capital des jeunes est-il en danger ? » sont éloquents. 69 % des 13/25 ans écoutent chaque jour de la musique. 67 % en consomment jusqu'à 4 heures par jour. Un véritable shoot auditif ! « L'homme au cours de son évolution a créé de nouvelles sources de son. Les oreilles n'ont pas la capacité de muter et de s'adapter à la puissance de ces nouvelles sources », explique le docteur Pascal Foeillet, médecin ORL. Alors, ça passe ou ça casse ! Un handicap auditif précoce plane donc sur cette génération hyper connectée, et il y a tout lieu de s'en inquiéter ! « Il n'est pas rare, poursuit le docteur, de rencontrer, dans notre consultation, des pertes de l'audition chez des jeunes que l'on découvrait autrefois auprès d'une population vingt ans plus âgée. Nous pouvons également observer une recrudescence des acouphènes, le plus souvent suite à l'exposition lors de concerts ou de soirées en discothèque. »
 

Le son devient bruit

A ce temps d'écoute, il est nécessaire d'ajouter le bruit dans les classes ou amphis, dans le restaurant scolaire, sur le lieu de travail, dans les transports, dans la rue puis à la télévision... Ce cumul soumet nos oreilles à une tension permanente. Le son devient bruit et facteur d'abrutissement agissant sur l'humeur, la disponibilité aux autres, les capacités de concentration, la qualité du sommeil, la vie intime et l'état de santé... Le son, oui, mais à durée et volume maîtrisés et avec des pauses auditives régulières !

14 mars 2013 : une pause pour nos oreilles ?

Aussi, lors de la 16e Journée Nationale de l'Audition, le jeudi 14 mars 2013, l'association JNA (le docteur Foeillet en est également secrétaire général) invite le public à découvrir la notion de stress auditif et à intégrer des temps de pauses auditives. Une nouvelle clé pour bien vieillir et pour que notre système auditif, véritable trésor, conserve l'une de ses fonctions : être média de plaisir le plus longtemps possible. Et surtout pour que nos enfants ne sombrent pas, un jour, dans un silence... assourdissant !

 

(Source : Handicap.fr)

lundi, 14 janvier 2013

Le Catalogue APF Evasion ETE 2013 est disponible

3735433438.jpgLe catalogue adultes pour les séjours en France et à l'étranger est disponible en téléchargement en cliquant ici...

 

Vous pouvez aussi nous demander un exemplaire papier en nous contactant pa téléphone au 03.24.33.00.41 ou par mail à dd.08@apf.asso.fr

 

Tous les vacanciers majeurs partis en Séjour de vacances avec APF Evasion depuis 2012 vont recevoir le catalogue automatiquement.

 

Le catalogue enfance / jeunesse été 2013 sortira début février.

Attention ! une erreur s'est glissée dans nos fichiers, des enfants ont reçu 521731476.jpgle catalogue Adultes ! Ne vous inquiétez pas, le catalogue Enfance Jeunnesse sera bien adressé au public concerné le mois porchain.

 

 

 

vendredi, 11 janvier 2013

Challenge de la Chanson Internationale 2013

L'Une de nos adhérentes, Amandine Petit, participera, aprés de brillantes qualifications, aux quarts de finale du challenge de la chanson internationale 2013.

Venez nombreux l'encourager le dimanche 20 janvier 2013, à la salle des fêtes de Mouzon. En cas d'égalité, les candidats sont départagés à l'applaudimètre. Mettez donc le bleu de chauffe et en route!!!

jeudi, 10 janvier 2013

Tout s'arrange pour Nathalie et sa petite Amandine

2013010750ea4925b20a5-0-709561.jpgNathalie Charlier, mère de la jeune Amandine, handicapée à 80 % à la suite d'une maladie orpheline, a retrouvé sinon le sourire, tout au moins son calme.

 

Cette dame qui habite Floing s'était tout particulièrement offusquée après avoir été soumise à un questionnaire émanant de la « Maison départementale des handicapés » destiné à évaluer le temps qu'elle consacrait à sa fille au quotidien. Ce temps avait été estimé à 1 h 15, soit 38 heures et 1 minute par mois.

Mme Charlier avait alors vu ses aides baisser d'une centaine d'euros. Profondément contrariée, Nathalie Charlier avait déposé un recours contre cette décision. Depuis, elle était dans l'attente des conclusions de l'organisme.

 

La bonne nouvelle est tombée dans sa boîte aux lettres ce lundi 7 janvier. Elle a en effet appris par courrier officiel que la MDPH, après réexamen du dossier, estimait désormais qu'elle s'occupait de sa fille « 6 heures par jour et sept jours sur sept, auxquelles s'ajoute une prise en charge de 30 heures par mois au titre de la vie sociale ».

 

De son côté le conseil général, dont dépend la MDPH, a souhaité rappeler l'historique des faits afin que les choses soient parfaitement claires :

 

«- Le 15 mars 2012, Mme Charlier dépose un dossier de renouvellement des droits ouverts pour sa fille Amandine. Elle bénéficie alors de l'allocation d'éducation pour l'enfant handicapé (AEEH) ainsi que d'un complément de 4e catégorie soit un montant mensuel d'un peu moins de 700 €

 

- Le 4 mai 2012, la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées (CDAPH) statue sur la demande de Mme Charlier pour sa fille Amandine et lui attribue, en lieu et place du complément de l'AEEH, une prestation de compensation de handicap « aide humaine et une prestation de compensation du handicap (PCH) « charges spécifiques » » à compter du 1er mai 2012. De plus, Mme Charlier continue de percevoir l'AAEH. Suite à cette première décision, le montant total des aides dont bénéficie Mme Charlier au titre du handicap d'Amandine est effectivement inférieur au montant des aides antérieures d'environ 100 €/mois.

 

A noter que Mme Charlier a été entendue par la CDAPH a sa demande, qu'elle est venue accompagnée d'une délégation, reçue par le directeur de la MDPH.

 

- Le 7 août 2012, Mme Charlier dépose un recours gracieux contre cette décision. Après une nouvelle évaluation par la MDPH réalisée lors d'une visite au domicile de Mme Charlier, la CDAPH fait suite à cette demande par décision du 26 octobre 2012 et accorde une PCH à hauteur de 6 heures par jour 7j/7 à laquelle s'ajoute la prise en charge de 30 heures/mois au titre de la vie sociale et la PCH « frais spécifiques » pour un montant de 100 €/mois soit une PCH mensuelle totale d'environ 1 200 € à laquelle s'ajoute le versement de l'allocation d'éducation pour l'enfant handicapé (AEEH) soit une aide totale d'environ 1 350 € par mois au titre de la prise en charge du handicap d'Amandine. Conformément à la réglementation, la date d'effet de cette décision est fixée à la date de la décision contestée, soit le 1er mai 2012 avec rappel des montants correspondants.

 

De ce fait, il est totalement inexact d'affirmer que Mme Charlier a vu ses aides diminuées puisqu'au terme du recours auquel la CDAPH a fait suite, elle bénéficie, depuis le 1er mai 2012 avec rappel des sommes correspondantes, d'une aide mensuelle d'environ 1 350 € contre un peu moins de 700 € antérieurement » tenait à préciser Yann-Yves Biffe, directeur de la communication au sein du conseil général des Ardennes.

 

(Source : L'Ardennais)