mardi, 04 septembre 2012

Les sensibilisations au handicap dans les établissements recommencent

Les sensibilisations au(x) handicap(s) menées par les adhérents de l'APF et les membres d'autres associations partenaires, recommencent dès le mois de septembre et jusqu'au mois de juin 2013.

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Les deux premières sensibilisations sont déjà fixées au Lycée d'Etion et à l'école maternelle de Castrice. Étant donné que nous intervenons au rythme d'une sensibilisation par mois, il reste donc huit places, de novembre à juin. Vous pouvez donc dès à présent nous contacter si vous souhaitez que nous nous déplacions dans votre établissement ou dans celui où vos enfants sont scolarisés.

Le déroulement de ces interventions est adapté selon l'âge des élèves. Nous pouvons intervenir aussi bien dans une école maternelle que dns un lycée, sur une demi-journée ou une journée entière. Selon l'âge, la filière d'étude, etc. nous proposons des interventions différentes:

  • Handi'chiens;
  • Handisport;
  • Questions-Réponses avec des personnes en situation de handicap;
  • Rencontre avec un(e) intervenant(e) sur un thème précis;
  • Repas sensitif;
  • Explications et jeux concernant le handicap visuel;
  • Explications et jeux concernant le handicap auditif;
  • Parcours de sensibilisation avec obstacles;
  • Etc.

Si vous êtes intéressé, vous pouvez nous contacter par téléphone au 03 24 33 00 41 ou par mail: sensibilisation.apf08@yahoo.fr

lavismedical.com recrute des médecins en situation de handicap

Téléconseiller médical pourrait bien être un métier d’avenir dans l’Hexagone.

En tout cas, dans le sillon du décret n° 2010-1229 du 19 octobre 2010 sur la télémédecine, les fournisseurs de service dans ce domaine émergent en France (alors qu’ils sont déjà bien présents dans d’autres pays occidentaux tels les Pays-Bas, la Suisse, l’Angleterre et les États-Unis).

Ainsi, le site Internet Lavismedical.com, lancé en mai 2011, souhaite étoffer son équipe et recherche des médecins en situation de handicap (généralistes ou spécialistes). Destinée au grand public, aux mutuelles et assurances en santé, ou encore aux voyagistes qui accompagnent des personnes en situation de handicap, cette plateforme délivre en direct, par téléphone, des avis et des conseils médicaux (mais pas de prescription). D’un côté de la ligne, des patients ; de l’autre, des professionnels de santé donc (aujourd’hui 8 médecins généralistes, 10 spécialistes, 4 pharmaciens, couvrant 13 domaines de santé). Apparaissant sur le site avec leurs nom, photo et cursus, ces derniers « exercent leur activité depuis leur domicile, par vacation rémunérée, selon un planning défini avec eux », explique le Dr Jean Spalaikovitch, le fondateur du site Internet.

Également médecin ORL et directeur de l'Hôpital À Domicile de Lorient, il ajoute : « Il nous paraît légitime et intéressant de pouvoir proposer à des médecins en situation de handicap la possibilité de donner des conseils médicaux depuis leur domicile de la même manière. »

Vous êtes intéressé(e) ? Pour candidater, il suffit d’'adresser votre CV complet à: contact@avispros.com.

Attention néanmoins, vous devez être inscrit(e) au Conseil de l'Ordre des Médecins. Mais, il n'y a pas de limite d'âge et toutes les spécialités sont bienvenues. (Source: Elise Jeanne - Faire Face)

A la recherche du dépassement honorable

Entre la Sécu, les mutuelles et les syndicats de médecins, les négociations vont entrer demain dans le vif du sujet. Et c'est loin d'être gagné.

De difficiles négociations débutent demain en vue de réguler les dépassements d'honoraires pratiqués par certains médecins, le gouvernement cherchant à résoudre enfin, d'ici à la mi-octobre, une situation de plus en plus mal ressentie par les assurés sociaux.

Lancées officiellement le 25 juillet, ces négociations démarrent véritablement cette semaine et vont durer jusqu'au 17 octobre, date butoir fixée par la ministre de la Santé, Marisol Touraine, qui a prévenu qu'elle prendrait des mesures législatives en cas d'échec. Le gouvernement n'est pas en première ligne dans ces négociations, qu'il a voulues, mais donne des consignes au directeur de l'Union nationale des caisses d'assurance maladie (Uncam), qui dirige les discussions. Celles-ci réunissent, outre la "Sécu", des complémentaires santé (mutuelles, assureurs, etc.) et les syndicats représentatifs de médecins libéraux.

Les positions de départ sont assez éloignées. Les organismes payeurs, Assurance maladie et complémentaires, cherchent tout naturellement à endiguer les débordements tarifaires, et éviter que la part non remboursée pour les patients n'augmente trop. De leur côté, les syndicats répètent à l'envi - sans être très audibles - que nombre de praticiens, spécialistes pour la plupart, sont contraints d'exiger des "compléments" d'honoraires pour faire face à leurs charges croissantes et compenser l'absence de revalorisation de leurs tarifs depuis vingt ans par la Sécu.

Selon l'Assurance maladie, leur niveau moyen de dépassement (toutes spécialités confondues) est passé de 25% à 54% entre 1990 et 2010, par rapport au tarif Sécu. La ligne choisie par le gouvernement sera-t-elle celle de l'incitation ou celle de la coercition?

Il est question de faire signer aux médecins pratiquant des dépassements un "contrat de solidarité et d'accès au soins": ils s'engageraient à les modérer, moyennant certains avantages de la part de l'Assurance maladie et une prise en charge par les complémentaires de ces dépassements modérés.

Les quelques 22 000 médecins concernés, en secteur 2, peuvent fixer librament leurs honoraires, contrairement à leurs confrères, beaucoup plus nombreux, du secteur 1, qui appliquent simplement les tarifs remboursés par la Sécu.

Face à une majorité de médecins de secteur 2 qui respectent plus ou moins le "tact et la mesure" prévus par le code de déontologie médicale, une petite minorité de médecins stars facturent parfois plus de dix fois le tarif Sécu, principalement certains professeurs hospitaliers ayant droit à un secteur libéral au sein de l'hôpital public.

Pour le Dr Jean-François Rey, président de la branche spécialistes de la CSMF, le plus gros des syndicats de médecine libérale, il faudrait déconventionner ces médecins "hors normes" (les mettre hors Sécu) pour pouvoir ensuite parler sereinement de la grande majorité. Il les évalue à 300, dont 150 à l'hôpital. Une évaluation qui n'a rien de scientifique. Le Dr Jean-Paul Hamon, président de la FMF, autre syndicat libéral, parle lui de "450 gros dépasseurs".

La réunion de mercredi soir doit déterminer ce que sont les "dépassements abusifs". Il faudra ensuite fixer les limites de ce qui peut être remboursé. (Source: L' Ardennais)

lundi, 03 septembre 2012

Suivre les Paralympiques en images sur le blog de Faire Face

À partir d'aujourd'hui du 30 août et jusqu'au 9 septembre, le blog Faire Face vous donne rendez-vous tous les jours à 16h et 23h pour partager deux photos "coup de cœur" des Jeux paralympiques de Londres, proposées par Albin Millot, photographe sur place. En fin de compétition, ils publierons également un album-photos des moments forts de ces jeux et le magazine Faire Face d'octobre présentera, en pages "Evénement", un portfolio. (Source: V.DC - Faire face)

Vous pouvez aussi prolonger la réflexions sur le sport et le handicap en lisant un article écrit par Eric Dugas pour le Nouvel Observateur: Le sport favorise-t-il réellement l'intégration des handicapés?